Faire de ton activité un espace durable
Comment faire ? Prêt(e) à expérimenter ?
Et pourquoi pas entreprendre en mode permacole ?
C’est ce que propose Solen de Créatorsforgood dans son livre :
« le guide de l’entrepreneur durable »…
https://www.creatorsforgood.com/
Personnellement, j’adore cette idée. Il est vrai que l’entreprenariat est aussi une question d’éco-sytème social.
Alors, comment le soigner ? Y trouver ma place, collaborer, innover, créer de l’abondance pour tout(e)s ?
Bon, je reviens sur les fondations de la permaculture. Quelles sont ses valeurs, sa raison d’être ? C’est mieux, pas vrai ?
Alooors :
- Etre bénéfique à la terre
- Etre bénéfique aux humains
- Partager les surplus
Alors, premier principe : observer et interagir pour s’aligner.
Choisir quoi produire en fonction de ce qui a le plus de chance de fonctionner naturellement, sans forcer et sans artifices.
Il s’agit de repérer sa zone de brillance (ce que tu aimes faire et qui est facile pour toi, ce genre de moment où tu es dans le « flow »).
Puis de l’aligner pas à pas avec ton activité afin de garantir un maximum d’impact et de viabilité financière.
Oui, je sais, ça ne se fait pas forcément en un jour… 😉
Du coup, tu peux aller faire un tour sur cet article, tu y trouveras 2 tests pour voir où tu en es.
https://la-spirale-des-possibles.fr/on-se-detend-3-outils-pour-passer-tes-paliers-en-serenite/
Trouver ta place et intéragir
Deuuuxième principe : favoriser les ressources renouvelables: bien choisir les aides extérieures
C’est le moment de s’appuyer sur l’aide de mentors, coachs, accompagnants et autres experts pour ne pas s’épuiser et garder son énergie pour sa zone de brillance et bien pouvoir s’occuper des clients.
Par exemple, c’est là où tu peux prendre un Cycle de rêves, par exemple, je dis ça, je dis rien… 😉
Et puis, réutilise, réutilise, réutilise…
Si la tache est renouvelable, c’est une bonne façon de faire fructifier son expérience (c’est une forme de capitalisation des ressources).
Tes process d’animation, tes articles de blog, par exemple…
Le but étant de ne pas avoir de dettes extérieures et de t’auto-financer.
Bien sur, selon le moment, bien s’entourer et déléguer permet aussi de préserver ses ressources en temps, créativité et énergie. C’est de l’investissement précieux.
Tu n’es pas obligé de tout faire (regarde de plus près ta zone de brillance).
Par exemple, j’ai eu le besoin d’être soutenue au niveau administratif et comptable et je retrouve ce soutien technique dans ma coopérative Oxalis.
Ouuu, je n’y connaissais rien en site internet, Je me suis formée avec Damien Fonvieille et il reste mon support technique et communication.
J’ai eu besoin de me faire accompagner pour structurer mes avancées, j’ai travaillé avec Lidy de la Forêt qui pousse…
https://www.laforetquipousse.com/
Toujours, pas à pas, en célébrant les avancées. Et regarder le chemin parcouru. 😉
Assumer sa singularité
Dans cet éco-système, pas de concurrence car tu vas « favoriser les bordures ». Oui, imagine-toi dans un jardin au printemps, en été… 😉
Troisième principe : il s’agit de te positionner sur ta niche entrepreneuriale.
Travailler ton positionnement, bien le délimiter (définir les bordures). Se positionner en valorisant la richesse de ce qui te différencie. Qu’est ce qui te rend unique ?
Pour ma part, tu le sais, c’est la maîtrise du rêve éveillé, du rêve qui éveille.
Je peux utiliser cette compétence dans des accompagnements individuels, des facilitations de groupe, de la formation en accompagnement au changement, des créations de collectifs et de projets en lien avec la transition écologique.
Je suis alors à l’intersection de plusieurs mondes, j’offre une approche créative et innovante à forte valeur ajoutée, ce qui va favoriser des interactions efficaces à l’intersection de plusieurs mondes professionnels. J’adore ça !
Mes client(e)s ont tout(e)s une forte sensibilité écologique et une quête de sens.Ils sont prêts à passer à l’action, mais pas n’importe comment. C’est là que j’interviens pour eux.
Une diversité riche et soutenante
Quatrième principe : je favorise la diversité.
Je décide de ne pas mettre tous mes oeufs dans le même panier.
J’accueille régulièrement des client(e)s et je suis vigilante à avoir un processus de travail identique pour favoriser une économie d’échelle.
Bien, sur, je dégage du temps pour créer, innover grâce au fait de reproduire des process à d’autres endroits…
Je favorise aussi ma diversité entreprenariale en travaillant au sein de deux collectifs qui m’amènent des client(e)s différents. Gratitude !
Outre le fait que ces collectifs stimulent mon besoin d’interactions et d’explorations (en bonne multi-potentielle que je suis), il est effectivement rassurant de savoir que si le partenariat se termine avec l’un, je peux potentiellement faire le relais avec l’autre, par exemples…
Cela permet d’éviter de tout perdre lorsque tout s’arrête avec un client (fin d’un programme, d’autres projets plus alléchants, problèmes de santé voyages etc…) . Oui, ça m’empèche pas forcément certains deuils mais ça favorise la résilience.
Bon, bon, je te préviens, j’ai encore 8 principes à te présenter !
La suite dans un prochain article !
En attendant, dis-moi ce que tu en penses. Est-ce que cette notion de permaculture entreprenariale te parle ?
N’hésite-pas à me partager ton expérience. 😉