Oh là là ! Rêve ou cauchemar ?
En ce moment, je ne te cache pas que je trouve l’ambiance plutôt plombante. Je suis frappée du traitement médiatique anxiogène autour du corona virus et des masques qui nous isolent un peu plus les un(e)s des autres.
J’anime des formations, des ateliers, des accompagnements.
🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂
Je dois le faire avec un masque ! Je respecte cette prérogative pour ne pas créer d’inquiétudes pour ceux et celles pour qui ce masque est une véritable sécurité.
Néanmoins, moins de visages, de sourires, d’expressions… Plus de demandes de répétitions, d’incompréhension et parfois d’échanges… Plus de fatigue…
L’autre jour, en allant chercher ma fille à l’école, je n’arrivais plus à reconnaitre les personnes autour de moi : moins de bonjours, moins de gestes de reconnaissance, moins de liens…
Pas fun, tout ça !
Et bien justement, et si je profitais de cette contrainte pour booster ma créativité ? C’est à la fois à toi et à moi que cette question est posée.
Et bien oui, là c’est un joli défi, qui m’a fait pointer du doigt une fois encore l’importance, le besoin, la nécessité de rêver !
Et là, synchronicité ??? Un collègue, puis un autre, me parle du dernier livre de Rob Hopkins.
Et vlan ! Je tombe dessus dans ma librairie préférée (oui, j’ai la chance de pouvoir aller dans une vraiiie librairie, je kiffe !).
Rob, je t'aime !
Et là, j’ai l’impression que ce cher Rob résume, avec fortes sources documentées et un joli humour, une bonne partie de mon parcours et points de vues !
GRATITUDE ! D’ailleurs, je pense que je vais lui faire un petit mot à ce sujet. 😉 🙂
« Et si… On libérait notre imagination pour créer le futur que nous voulons? » C’est le titre du livre…
Ben oui, parce que c’est beaucoup plus facile de rentrer dans des scénarios dystopiques. Et que notre planète n’est pas en grande forme, que les conditions sociales se dégradent, etc.
Premier point : éviter le déni, ben oui, c’est là et c’est flippant.
Deuxième point : booster notre imagination pour ouvrir les possibles ! Parce que ce sont les récits que se transmettent les humains qui créent leur réalité. Tout part de l’imaginaire.
Bah oui, c’est là que c’est urgentissime de rêver, ma bonne dame ! C’est pas quand tout est rose, mon bon monsieur, là c’est facile… 😉
Seul(e), en groupe, en collectif ! Tout est possible. YES !
Plusieurs modes d’action : lever les nez des écrans, éteindre les principales chaines de médias, supprimer les notifications… Reprendre le pouvoir sur ton attention.
Marcher, dormir dessiner, rêvasser,lire (mais pas des dystopies, einh), écrire dans un carnet tous les petits moments de joie
(la brise, le soleil sur ma joue, la blague de ma fille, le café avec la collègue, les étudiants qui éclatent de rire en voyant, un court instant, les visage cachés derrière le masque…).
Et les relire régulièrement ! A chaque fois, c’est revivre la joie…
Et c’est ça qu’est bon…
« Avec des si, on mettrait Paris en bouteille », tu te souviens de cette expression ?
« Avec des si, je décide de créer un futur résilient », végétal, avec de joyeux liens de voisinages, des enfants qui jouent dans la rue, des petits vieux qui papotent au soleil, une nourriture saine pour tout(e)s, des chevauxbus, des spectacles…
A toi : Et si tu décides d’un futur résilient, joyeux ? Qu’est ce qui vient spontanément ? 🙂 🙂
N’hésite-pas à noter en commentaires les images qui te viennent !
Tu peux aussi me (re)contacter pour un cycle de rêve ou un rêve des pivoines, si tu sens que tu as du mal à lever le brouillard.
Je peux t’en dire plus lors d’un entretien découverte gratuit si on ne se connait pas encore…
Parce que le mieux, c’est toujours de se parler, sans masque 😉 …